Quand nous ne sommes pas capables de donner de l’empathie, c’est sans doute que nous en avons nous-mêmes besoin.
Page 1 sur 1
Quand nous ne sommes pas capables de donner de l’empathie, c’est sans doute que nous en avons nous-mêmes besoin.
Quand nous ne sommes pas capables de donner de l’empathie, c’est sans doute que nous en avons nous-mêmes besoin.
Une mère ne peut allaiter son enfant si elle ne reçoit elle-même les nutriments indispensables. C’est ainsi que nous essayons parfois de nous mettre à la place de l’autre sans y parvenir ou sans le vouloir véritablement. En général, c’est le signe que nous sommes nous-mêmes trop en manque d’empathie pour pouvoir en offrir à autrui. Si nous reconnaissons ouvertement que notre propre détresse nous rend impossible de ressentir ce que l’autre ressent, il se peut que cet autre soit en mesure de nous accorder l’empathie dont nous avons besoin. Sinon , nous pouvons être dans l’obligation de nous administrer nous-mêmes les “premiers secours” empathiques ou d’en chercher auprès de quelqu’un d’autre.
En matière d’empathie, ces premiers secours consistent à accorder à ce qui se passe en nous cette même qualité d’écoute que nous avons décrite pour les autres. Nous focalisons notre attention sur ce que nous ressentons et nous mettons à l’écoute des besoins qui engendrent nos sentiments. Lorsque nous éprouvons un relâchement de notre tension, nous sommes alors prêts à écouter autrui avec empathie.
Une mère ne peut allaiter son enfant si elle ne reçoit elle-même les nutriments indispensables. C’est ainsi que nous essayons parfois de nous mettre à la place de l’autre sans y parvenir ou sans le vouloir véritablement. En général, c’est le signe que nous sommes nous-mêmes trop en manque d’empathie pour pouvoir en offrir à autrui. Si nous reconnaissons ouvertement que notre propre détresse nous rend impossible de ressentir ce que l’autre ressent, il se peut que cet autre soit en mesure de nous accorder l’empathie dont nous avons besoin. Sinon , nous pouvons être dans l’obligation de nous administrer nous-mêmes les “premiers secours” empathiques ou d’en chercher auprès de quelqu’un d’autre.
En matière d’empathie, ces premiers secours consistent à accorder à ce qui se passe en nous cette même qualité d’écoute que nous avons décrite pour les autres. Nous focalisons notre attention sur ce que nous ressentons et nous mettons à l’écoute des besoins qui engendrent nos sentiments. Lorsque nous éprouvons un relâchement de notre tension, nous sommes alors prêts à écouter autrui avec empathie.
Sujets similaires
» CNV : Nous avons des merveilles à échanger
» Accueillir ce qui se passe chez les autres et ce qu’ils demandent avec empathie
» Accueillir ce qui se passe chez les autres et ce qu’ils demandent avec empathie
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|